L'important, c'est la rose...
Les rosiers autochtones ont bien failli passer de vie à trépas, à l’occasion de la guerre chimique qui s’est déroulée dans le jardin, le débroussaillant ne faisant pas la distinction entre une vulgaire ronce et une jolie fleur délicate et odorante…
Leur emplacement les a aussi exposés à quelques rencontres du troisième type avec la tondeuse à gazon…
Bref, il fallait faire quelque chose, si nous voulions tenter de les conserver…
Dans un premier temps, ils ont tout simplement été bouturés ailleurs : 3 tiges, presque entièrement dépourvues de feuilles pour les raisons ci-dessus exposées, ont été plantées dans une terre ameublie et enrichie. Elles ont ensuite été régulièrement et copieusement arrosées.
Et les tiges ont repris et se sont mises à faire des feuilles…
Et le plus drôle dans cette histoire, c’est que les pieds originels se sont mis à pousser à nouveau, et l’un d’entre eux a même refait une fleur ! Ils ont donc été déplacés afin de tenter de les conserver…